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 Mamie Aline, doyenne officielle du forum, bitches ! ♥

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Aline Brillant


Aline Brillant

Messages : 112
Points de Complot : 2658
Fiche : LA FICHE, BITCHES !
Date d'inscription : 04/01/2017
Lieu : Paris, XVIème arrondissement
Occupation : Rentière (et deal occasionnel)

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MessageSujet: Mamie Aline, doyenne officielle du forum, bitches ! ♥   Mamie Aline, doyenne officielle du forum, bitches ! ♥ Icon_minitimeMer 4 Jan - 13:27


Nom : Brillant, née Fronsac
Prénom : Aline
Pseudo : Mamie Pétard (mais c’est plus un surnom, elle ne maîtrise pas assez ‘les internets’ pour ça.
Âge : 76 ans (Née le 8 octobre 1940)
Genre : Femme cis
Pouvoir:  [OUI] [NOUVEAU]
Lieu d'habitation : Un appart raisonnablement spacieux dans le XVIème arrondissement de Paris, en France.
Métier/Occupation : Rentière, Dealeuse de Marie-Jeanne à l’occasion.
Langues parlées : Le français, principalement. Elle se met doucement à l’anglais, et à l’arabe, avec l’aide des étudiants étrangers qu’elle héberge, mais c’est très laborieux.



description

Aline est vieille. C’est une évidence qui tapisse chaque atome de son être, de la pointe de ses cheveux blanchis jusqu’aux extrémités de ses orteils noueux. Elle a un jour été une belle femme, blonde, ronde et à la peau toute aussi lisse que la porcelaine, mais ce temps n’est plus. Parfois, il arrive que l’on puisse l’apercevoir, encore, sous les plis et la décoloration que le temps lui a infligé. Mais si tant est qu’on ne considère pas la vieillesse comme un critère d’exclusion absolu à la beauté ou l’élégance, elle continue de faire partie de ces femmes que même l’âge n’a pas su véritablement enlaidir.
Elle est coquette, à certains égards, et ne sort pas de chez elle sans avoir mis en ordre sa chevelure d’argent, où brossé un peu de maquillage autour de ses yeux bleus. En revanche, et c’est une tendance qui lui vaut d’attirer les regards plus que n’importe quelle beauté fatale, elle a acquis, au fil de ses années de veuvage, une excentricité vestimentaire à toute épreuve. Débarrassée du jugement de son mari, elle a pu laisser libre court à ses fantaisies, et s’est trouvé une nouvelle jeunesse dans la profonde satisfaction qu’elle éprouve à refuser de « s’habiller pour son âge, et sa classe sociale ». Du manteau de fourrure disproportionné au jean déchiré en passant par les lunettes de soleil en toc et autres accessoires en plastique multicolores.

De quoi détonner complètement dans son petit quartier bourgeois bien rangé, mais c’est complètement volontaire. Dans l’intimité, elle confiera même qu’elle prend un malin plaisir tout particulier à faire bisquer cette population du seizième, des avocats brillants et grognons jusqu’aux petites vieilles poudrées à caniche.


réactions

- Face à l'agressivité : Elle n’a pas spécialement la capacité physique de courir à la confrontation avec n’importe qui, mais elle est muni d’un culot à tout épreuve, ainsi que d’un certain talent pour la lecture des émotions d’autrui. Elle maîtrise à la perfection cet art des vieilles personnes à deviner jusqu’où les gens leur passeront leurs effronteries, et en use dès qu’elle en a l’occasion. Il faut bien qu’il y ait un avantage à faire partie du troisième âge.
Ainsi, elle navigue ces choses-là avec un mélange d’intelligence et d’instinct, allant et venant entre l’agressivité et la passivité. Elle est connue pour son franc parler, son mépris de la bienséance, et son insolence à tout épreuve, mais elle aura le bon sens de ne pas insulter quelqu’un qui pourrait avoir la capacité ou la volonté de lui réduire la mâchoire en miette d’un revers de la main.

- Face à l'échec : Aline est une tête de mule. Une vraie de vraie. Le genre qui n’accepte ni qu’on lui dise qu’elle a tort, ni de laisser un projet qui lui tient à cœur mourir dans l’œuf sans avoir usé de toute sa ressource pour le sauver. Même pieds et poings liés par les circonstances, elle trouvera toujours un moyen de contourner les lois de la bienséance ou de la gravité pour s’empêcher de se confronter à l’échec. Ou du moins elle donnera tout ce qu’elle a pour essayer. Cela fait d’elle quelqu’un sur qui on peut compter, mais qui peut aussi s’avérer d’une mauvaise foi crasse lorsque l’on n’est pas d’accord avec elle.
En outre, dans les cas où ses efforts ne sont pas fructueux, ou du moins suffisants pour la prévenir de l’échec - le vrai - il est déjà arrivé que la chose la plonge dans de longues périodes de dépression assez violentes. Dans la victoire comme dans la défaite, Aline est une vieille âme qui ne s’épanouit que dans l’intensité.

- Face à un événement surnaturel :
Elle a toujours eu une approche très agnostique du surnaturel. De la religion en passant par les forces cosmiques du destin ou de la naturopathie, que pratiquait beaucoup une de ses toutes premières colocataires, elle s’est toujours dit que, si puissances métaphysiques il y avait, il serait toujours temps d’accepter leur existence lorsqu’elles lui tomberaient sur le nez. Elle ne va pas nécessairement crier aux esprits chaque fois qu’une bougie s’éteint ou qu’un objet tombe d’une commode, mais elle ne cherchera pas forcément non plus à rationaliser la moindre bizarrerie qui déciderait de venir envahir sa vie.

- Face à un(e) parfait(e) inconnu(e)  : Contrairement à ses pairs d’âge et de situation, Aline n’est pas quelqu’un qui se laisse facilement aller au préjugé où au délit de faciès. Peu importe qui vous êtes, ou d’où vous venez, elle vous laissera toujours une chance de prouver que vous n’êtes pas un sale con. Ce que vous faites de cette chance-là, évidemment, c’est entre vos mains. En revanche, si vous lui donnez des raisons de ne pas vous aimer, attendez-vous à en entendre parler de longtemps. Une fois son jugement arrêté, c’est très difficile de la faire revenir en arrière. Peut-être parce qu’à son âge, on a l’impression d’avoir trop vécu pour être encore capable de mal juger, ou peut-être qu’elle se dit qu’elle a trop peu encore à vivre pour trouver des excuses à tous les cons.

- Si on lui propose une grande somme d'argent sans rien demander en retour : Elle hausserai probablement les sourcils en premier lieu. Elle a suffisamment évolué dans le milieu des anciens et nouveaux riches pour ne pas faire une crise cardiaque en voyant s’aligner les zéros sur un chèque, mais reste encore assez à l’écoute de sa nature profonde pour continuer à se demander ce qui peut bien pousser tous ces gens à jeter leur thune par les fenêtres. Probablement que sa réaction dépendrait de la personne qui lui propose cet argent, mais en réalité la vie dans le XVIème est assez chère, surtout lorsqu’on entretien de petits étudiants en pleine croissance, et à l’appétit vorace. De plus, si l’appartement lui appartient, il faut bien payer le reste ; les factures, c'est pas pour les chiens. Alors elle finirait probablement par céder. Elle n’a jamais été quelqu’un de particulièrement prudent, de toute façon…







votre passé


ENFANCE


Née le 9 juin 1940, à Rouvres, en Eure et Loire, elle passa la majorité de son enfance dans la petite ferme familiale de son grand père. Elle vivait là avec sa mère, les parents de sa mère, qui possédaient encore les terres, et deux frères ainés. Son père, lui, mourut quand elle avait à peine dix-huit mois, emporté par les complications d’une vieille blessure de guerre.
La ferme était vaste, et il y avait toujours un peu de travail, même pour une fillette, quoiqu’on réservât la plupart du travail difficile pour ses frères, et qu’elle passât beaucoup plus de temps avec les femmes de la maison, à s’occuper des poules, des lapins, de la cuisine, et de la petite roseraie de sa tante. L’aîné de ses frères, Maurice, fut appelé en 1954 pour l’Algérie, où il mourut quelques années plus tard, tandis que le cadet, Sylvain, choisit de rester pour reprendre la ferme. Aline, elle, libérée de ses obligations d’héritage, et ayant développé une certaine passion pour l’horticulture, au fil des années, profita de cette période un peu troublée pour annoncer son départ pour la capitale.


JEUNESSE PARISIENNE


En 1957, elle décida, contre l’avis de son frère, et de sa mère, mais avec la bénédiction de son grand-père, de suivre un ami de la famille, monsieur Gilles Bergotte, qui venait de décrocher un poste d’horticulteur au parc de Bercy, et qui l’invitait à devenir son apprentie. A contrecœur, sa mère décida de lui envoyer quelques francs de sa pension tous les deux mois par la poste, pour qu’elle trouve à se loger sur place.

Mais la vie parisienne était chère, et le salaire petit, aussi Aline dut trouver un arrangement de collocation, avec une autre étudiante, et une fille au pair. Elles logeaient à trois dans les combles d’un petit immeuble parisien, et menaient une vie austère mais pleine d’aventures. Aline se découvrit là quelques notions de féminisme, et prit un certain goût à sa toute nouvelle indépendance.

Celle-ci pourtant ne dura pas. Bientôt, sa mère vint lui rappeler qu’il était bien temps qu’elle trouve un mari, sous peine de se voir couper les vivres. La jeune femme, en conséquence, dut rapidement de résoudre à trouver bon parti, pour ne pas avoir à rentrer en province.
Mais la chance était de son côté puisqu’en 1960, à l’aube de ses vingt ans, elle rencontra Henri Brillant, jeune banquier de (très) bonne famille, de neuf ans son aîné, qui tomba instantanément sous son charme en lui achetant un bouquet de roses pour la fête des mères. Il la visita quelques mois, au jardin où elle travaillait, et tint longtemps tête à sa famille qui rechignaient très fort à le voir épouser une fille si peu fortunée. Ce fut cet effort-là, plus que toutes les fleurs, ou tous les poèmes maladroits, qui séduisit Aline, et un an plus tard, ils se marièrent sous un beau soleil de mai.


MARIAGE


Devenue ainsi Aline Brillant, elle quitta sa collocation pour emménager avec son époux, ainsi que sa belle-mère, dans un grand appartement familial du XVIème arrondissement. On l’obligea à quitter sa place au Parc, car il était hors de question qu’une femme de la famille brillant soit vue en train de travailler la terre, et Marielle Brillant, sa rapidement très détestée belle-maman, entreprit de l’initier aux bonnes mœurs, et à toutes les choses de la vie mondaine qui imputaient à sa nouvelle classe sociale.
Ce fut la dégringolade d’un rêve, pour Aline, alors qu’elle se rendit compte que tout cela ne lui convenait absolument pas. C’était là pour elle le début d’une vie d’ennui, et de frustration, à s'occuper des fleurs au balcon en regardant Paris vivre sans elle au loin. Des révolutions se firent, là, loin de son monde à elle, qui ne tremblait presque pas, même devant Mai 68.
Elle se laissa donc vivre, pendant une bonne dizaine d’années, avec pour seule échappatoire à ce quotidien fait de discussions mondaines et d’achats frivoles, dirigé à la baguette par sa belle-mère, une amitié profonde avec la bonne, Loleta, qui resta à leur service jusqu’à dix ans après la mort de Marielle, en 1974.

Ce fut la renaissance, pour Aline, qui eut d’ailleurs beaucoup de mal à cacher son soulagement, lorsqu’on la mit en terre. Elle ne pouvait pas s’empêcher de se dire qu’elle avait tout de même dû avoir un petit rôle à jouer dans la fulgurance de ce cancer à l’estomac, avec toute les aigreurs qu’elle avait pu causer à la pauvre femme, de son vivant.


LES ANNEES FOLLES


Les quinze années qui suivirent restent, à ce jour, celles qui marquèrent le plus la vie d’Aline, et celles qu’elle se remémore avec le plus d’heureuse nostalgie. Arrivant sur ses trente-cinq ans, et découvrant seulement le véritable sens du mot autonomie, elle se mit en quête de redonner à sa vie la couleur et le sens qui lui manquait cruellement. Elle commença à sortir, à faire la fête, découvrit le disco, les jeans, et la cigarette. Son mari l’accompagnait parfois, dans ses escapades plus ou moins nocturnes, mais l’homme avait cela de fantastique qu’il lui faisait véritablement confiance, et comprenait qu’elle parte parfois chercher ailleurs la liberté dont elle manquait dans leurs beaux quartiers. Et bien qu’il arrivât à la jeune femme de trouver d’autres bras dans lesquels danser, c’était toujours dans ceux d’Henri qu’elle revenait se blottir, au petit matin.

Cela leur suffisait.

Le sujet des enfants vint quelquefois sur le tapis, et il fut peut-être leur seul sujet de dispute, car Aline refusait catégoriquement d’en avoir. Ils passèrent de longues nuits blanches à en parler, pour finalement conclure qu’il ne valait mieux pas amener, dans ce monde, un autre enfant que sa mère n’aurait pas correctement aimé. Si Henri en garda une certaine amertume jusqu’à sa mort, il eut l’indulgence de ne pas trop souvent le lui reprocher.

Les années 80 furent aussi l’éveil, pour Aline, d’une certaine conscience politique et militante. Profitant pleinement de ses atouts financiers, elle se mit à s’investir dans de nombreux projets associatifs et engagés, des marches antiracisme/anti-homophobie jusqu’à l’hébergement d’une radio clandestine sur le féminisme, « les Radiotteuses », dont elle fut un membre très actif jusqu’à 1991.


MALADIE ET DEUIL


Le printemps 1993 marqua les premiers soucis de santé d’Henri. Suivant sa mère sur la piste du cancer de l’estomac, il fut pourtant pris en charge suffisamment tôt par le médecin de famille pour avoir une chance de se battre. Il enchaîna dès lors rémissions et rechutes, cessant définitivement ses activités professionnelles.
Aline, profondément secouée par cette petite cloche de rappel de la précarité de l’existence, se désintéressa progressivement de tout son engagement politique, et de son militantisme boulimique, pour se recentrer sur son couple, et accompagner son mari dans son combat contre la maladie.

Ensembles, ils luttèrent vaillamment, et arrachèrent même à la mort une décennie presque entière. Henri se laissa finalement rattraper en novembre 2002, laissant derrière lui une veuve dévastée, et un héritage relativement pesant. Démarrèrent alors deux interminables années de dépression pour Aline, qui s’isola dans son appartement. Ses seules sources de compagnie, pendant ce temps-là, à l’exception de l’occasionnel livreur ou employé de commerce, furent une ancienne amie militante, Emeline qui lui envoyait sans se lasser de petites cartes pleines d’encouragements, et le notaire et meilleur ami de son mari, Monsieur Charles Petimanche, qui se chargea pour elle de tout le fatras administratif, et veilla à la protection de son héritage.


REMONTEE DE LA PENTE


Ce fut un coup de fil d’Emeline, un soir de Décembre 2004, qui la tira enfin de ce deuil en exil. A l’occasion des fêtes, elle organisait un grand repas populaire, pour les familles plus défavorisées, dans le 18ème, et elle avait grand besoin de fonds, et de main d’œuvre. Nul ne sait vraiment ce qui la fit accepter cette offre-là, quand toutes les autres avaient été poliment déclinées, mais le fait est qu’elle s’y rendit, le cœur plein de résolutions.
Là-bas, elle fit une rencontre qui lui changea la vie. Azim Vecdi, un jeune bénévole de 20 ans, tout droit immigré de Turquie, qui servait à côté d’elle, et qui au fil de la soirée en vint à lui raconter ses problèmes de logement. Sans famille sur la Capitale pour l’accueillir, et avec les formalités de sa bourse qui traînaient à n’en plus finir, il se retrouvait à devoir squatter chez un vieil ami de la famille, très loin de l’I.U.T. Paris Descartes où il avait réussi à décrocher une place en master. Préparant une maîtrise de Comptabilité « contrôle audit » , dont les enjeux avaient laissé Aline tout à fait perplexe d’incompréhension, il était pourtant épuisé par les allers-retours, et désespéré de trouver un endroit où il pourrait travailler convenablement, loin de l’agitation sonore de la cité où il logeait.

Finalement, après de longues discussions, beaucoup de cigarettes, et un bon verre de vin chaud pour Aline, il était convenu qu’Azim viendrait occuper l’ancienne chambre de bonne, où il ne paierait pas de loyer à condition qu’il l’aide à s’occuper du ménage et qu’il lui fasse la cuisine – la pauvre femme vivait essentiellement de ses compétences en pâtisserie, et elle craignait pour sa propre santé, à la longue. Il restera chez elle une dizaine de mois, le temps d’obtenir sa bourse, et laissera derrière lui un vide assez désagréable, que la vieille dame se trouva fort empressée de remplir à nouveau.
Elle contacta donc quelques associations s’occupant de loger les étudiants étrangers dont les situations s’avéraient un peu trop complexes pour le système boursier français, et ce fut là le début d’une grande et belle collaboration. Une dizaine de jeunes garçons et de jeunes filles se succédèrent chez elle, souvent assez brièvement, pour leur permettre de continuer leurs brillantes études le temps de démêler leurs déboires administratifs.


SITUATION ACTUELLE


En octobre 2012, pourtant, et alors qu’elle fêtait tout juste ses 72 ans, elle recueillit un jeune immigrant syrien, Sayid Kabdil, futur doctorant en mathématiques appliquées à l’Université Paris-Dauphine, dans le XVIème, qui devint par la suite son résident au séjour le plus long. Engagé sur un cycle d’études particulièrement long et ardu, il loge encore chez la vieille femme à ce jour, et compte bien y rester encore deux ou trois ans. Leur relation est mêlée d’une profonde affection mutuelle, malgré la tendance de Sayid à sermonner son aînée lorsqu’elle s’entête dans des activités un peu trop dangereuses ou irresponsables à son goût.

Autant dire que lorsqu’elle commença à exploiter de manière… disons plus commerciale, les petits plans de cannabis qu’elle entretenait secrètement dans la salle de bain secondaire de leur appartement, reconvertie pour l’occasion en petite serre d’herboriste, il ne fut pas spécialement ravi. La vieille femme, évidemment, n’en fit qu’à sa tête, bien contente d’arrondir ses fins de mois en vendant un peu de beuh aux petits fils de riches du quartier, mais ça n’empêcha pas Sayid de refuser catégoriquement toute association avec le trafic.
Il n’avait pas besoin d’accorder la moindre substance au délit de fasciés qu’il subissait déjà assez quotidiennement dans le quartier.

C’est à peu près là que nous en somme, de cette folle aventure de vie, alors que notre Aline vient à présent de passer le cap des 76 balais, et qu’elle est sur le point de se rendre compte que sa vie contient encore beaucoup de surprises à son attention.






hors-jeu


+ Comment avez-vous découvert le Forum : Pouet.

+ Avez-vous des conseils/des remarques le concernant : Pouet pouet !

+ Votre disponibilité (moyenne) : Jusqu’à ce que la mort (ou l’IRL) nous sépare.
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Aloïs Eberhardt

Fait office de MJ

Aloïs Eberhardt

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MessageSujet: Re: Mamie Aline, doyenne officielle du forum, bitches ! ♥   Mamie Aline, doyenne officielle du forum, bitches ! ♥ Icon_minitimeVen 6 Jan - 18:29

La fiche est parfaite (j'en attendais pas vraiment moins) et très agréable à lire...

Je te valide déjà et je vois pour le pouvoir :)

Bisous !
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http://vasteblague.tumblr.com/
 

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